JoanaVasconcelos, artiste portugaise nĂ©e Ă  Paris, sera la premiĂšre de son genre Ă  investir Versailles. (Photo François Bouchon/ Le Figaro Unecentaine de dĂ©putĂ©s de tous bords et de collaborateurs se sont rĂ©unis ensuite, peu avant 15 heures, dans la cour d’honneur de l’AssemblĂ©e nationale pour rendre un Cest Ă  ce moment que les nobles suggĂ©rĂšrent au Pharaon d’exĂ©cuter Moussa et son peuple pour les empĂȘcher de rĂ©pandre. Ils tuĂšrent les garçons et Ă©pargnĂšrent les filles. Moussa recommanda aux fils d’IsraĂ«l de rester fermes. Et puis, exaspĂ©rĂ©, Pharaon et son peuple se mit d’accord pour dĂ©cimer Moussa et son peuple. Vay Tiền Nhanh. Dans le mĂȘme rayon PoĂ©sie Murmures de Roses Quand les mots deviennent aversions La rĂ©alitĂ© devient illusion Mes fleures contes leurs passions Le cahier des souhaits Ce recueil de poĂšmes est un outil que je mets Ă  votre disposition pour souhaiter des souhaits chaleureux Ă  vos proches lors d’évĂ©nements tels que les anniversaires ou tout simplement pour fĂ©liciter un tiers. J’y ai Ă©galement mis des textes que j’ai eu Ă  faire sur ... Alpha-numĂ©rique Ce recueil est plus moderne que le prĂ©cĂ©dent, aussi bien dans la forme que dans les thĂšmes traitĂ©s. Il est moins noir et moins que vous prendrez autant de plaisir Ă  le lire que j’en ai eu Ă  l’ pas mettre vos ... ï»żPolitique PrĂ©sidentielle 2024 Faits-Divers Societe International Economie Sport Opinions Senenews TV Accueil » Stars » Al khayri Ndeye Marie de la sĂ©rie Karma devient niarel » de Moussa Versailles PubliĂ© le 6 septembre 2021 - Mis Ă  jour le 6 septembre 2021 Al khayri Ndeye Marie de la sĂ©rie Karma devient niarel » de Moussa Versailles Le cĂ©lĂšbre Styliste MÎżussa Versailles a pris cÎżmme 2eme Ă©pÎżuse Yakhara Gueye alias Ndeye Marie de la sĂ©rie Karma. SelÎżn BuzzSenegal, le mariage a Ă©tĂ© scellĂ© ce dimanche. → A LIRE AUSSI KARMA saison 2 Le come back explosif de Amy LĂ©a photos → A LIRE AUSSI Admirez Les images de l’actrice Natalie de la sĂ©rie Karma » qui enflamment le net photos→ A LIRE AUSSI Explosif La bande annonce de la saison 2 de la sĂ©rie KARMA » est enfin lĂ  vidĂ©o Mis en ligne par Khadija SENE Mots-clĂ©s karma, MÎżussa Versailles, yakhara gueye Mots-clĂ©s karma, MÎżussa Versailles, yakhara gueye Laisser un commentaire Votre adresse e-mail ne sera pas publiĂ©e. Commentaire Nom E-mail Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. BEST OF - Senenews TV - N°1 de l'ActualitĂ© sur mobile au SĂ©nĂ©gal Contactez-nous Mentions lĂ©gales Qui sommes-nous? 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Toutes les actus du jour en temps rĂ©el sur le journal en ligne À VERSAILLES, C. PÉGARD DÉCAPITE L’IGNOBLE DE VASCONCELOS-TAMPAX, DIVISE LA RÉPUBLIQUE ET FAIT TRIOMPHER LA RÉVOLUTION DES BEAUX-ARTS ! Tel est pris qui croyait prendre », Le rat et l’huitre La Fontaine Je suis dans le lieu emblĂ©matique du pouvoir » C . PĂ©gard Versailles, Clef de l’Art et de la Politique — DUCHAMP CONGÉDIÉ PAR C. PÉGARD ! — APRÈS QUATRE ANS DE RÉSISTANCE CULTURELLE, — LA CDV A GAGNÉ LA BATAILLE DÉCISIVE DE L’INTELLIGENCE ! Victoire historique J. VASCONCELOS chassĂ©e du paradis de Versailles, c’est la mise Ă  nu de Marcel DUCHAMP descendant l’escalier de la gloire ! Plus dure sera la chute. _____________ C’est l’effet TAMPAX ! Coup de théùtre au chĂąteau de MoliĂšre cet Ă©tĂ©. C. PĂ©gard s’était pourtant vantĂ©e d’y exposer la premiĂšre femme d’art new-yorkais, J. Vasconcelos. Mais, entre les deux femmes, le dialogue culturel » a vite tournĂ© au crĂȘpage de chignon autour de l’ignoble Tampax-Lustre, le » “chef d’Ɠuvre” de Vasconcelos qui vient d’ĂȘtre interdit de Galerie de Versailles, dans une tragi-comĂ©die discrĂ©ditant les deux femmes et l’État au dessous de la ceinture du ridicule artistique, pour le plus grand triomphe de la RĂ©volution des Beaux-Arts contre Duchamp ! CHRONIQUE D’UNE RÉVOLUTION ANNONCÉE COMMENT LA DERNIÈRE EXPOSITION D’ART NEW-YORKAIS À VERSAILLES A TOURNÉ AU DÉSASTRE Le 8 dĂ©cembre 2011, nous avions prĂ©venu C. PĂ©gard qu’elle Ă©tait Ă  la croisĂ©e des chemins », qu’elle devait donner un coup d’arrĂȘt Ă  la politique suicidaire de salissure de notre patrimoine », hypocritement menĂ© sous couvert de dialogue » ou de mariage » entre art classique et art contemporain ». À l’annonce de l’exposition Vasconcelos propulsĂ©e sur le marchĂ©, Ă  Venise, par son Tampax-Lustre nommĂ© La Noiva », La FiancĂ©e » en portugais
, nous en avions dĂ©noncĂ© l’ignoble symbole » promis Ă  jouer le rĂŽle du bouquet de fleurs vĂ©nĂ©neuses de Koons dans la chambre de la Reine. Nous l’avions mise en garde Madame PĂ©gard sait-elle que ces Tampax lui colleront Ă  la peau, comme les “sex toys” de Koons ont collĂ© Ă  la peau d’Aillagon, provoquant sa chute ? ». Nous l’avions dĂ©clarĂ©e persona non grata Ă  l’AssemblĂ©e GĂ©nĂ©rale des Amis de Versailles du 11 juin 2012. Elle n’y est pas venue. La reine » PĂ©gard dĂ©trĂŽnĂ©e, aux Amis de Versailles, c’était enfin la RĂ©volution ! COMMENT L’EMBLÉMATIQUE TAMPAX-LUSTRE A FAIT LA RÉVOLUTION EN TROIS ACTES ! ACTE 1, PÉGARD DÉCAPITE VASCONCELOS La FiancĂ©e-Tampax ? C’est sans doute ma crĂ©ation la plus importante et emblĂ©matique, dit Vasconcelos, c’est elle qui m’a fait connaĂźtre sur la scĂšne internationale de l’art contemporain, avec une premiĂšre prĂ©sentation lors de la Biennale de Venise, en 20051 ». EmblĂ©matique de quoi ? Elle ne le dira pas, laissant la presse chanter l’hymne n°1 Ă  l’artiste crĂ©atif, c’est-Ă -dire dĂ©calĂ© » — La nature du processus crĂ©atif de Joana Vasconcelos repose sur la dĂ©contextualisation d’objets et rĂ©alitĂ©s du quotidien l’artiste s’amuse des dĂ©calages, des alliances entre l’industriel et l’artisanal, entre le luxe et l’ordinaire [1] ». C’est un dĂ©tournement inattendu du dĂ©corum de prestige des salons du 18Ăšme siĂšcle1 ». HĂ©las, la vĂ©ritĂ© est tout autre. Loin d’ĂȘtre une crĂ©ation » son trophĂ©e de Venise n’est qu’un stĂ©rĂ©otype Ă©culĂ© de Duchamp, une application quasi-mĂ©canique de son procĂ©dĂ© ready-made » dĂ©calĂ© » d’accouplement contre-nature des contradictoires artistiques, un mariage-viol » de l’ignoble Tampax et du noble Lustre en un seul objet publicitaire le “Tampax-Lustre”. Produit dĂ©rivĂ© du 1er mariage dĂ©calĂ© » de roue-tabouret » de Duchamp, de 1913, il est le split rocker » new-yorkais emblĂ©matique type de l’ignoble-noble ! Mais celle qui s’amusait tant des dĂ©calages d’autrui, de son regard critique », sera Ă  son tour recalĂ©e ! Elle ne passera pas les grilles du chĂąteau Alors que l’Ɠuvre Ă©tait inscrite dans le premier projet d’exposition, gĂ©mira alors Vasconcelos, elle en a Ă©tĂ© retirĂ©e au dernier moment, sans qu’il me soit donnĂ© d’explication1 ». Soudain prise de panique, interdite d’Amis de Versailles, la reine » PĂ©gard a donc dĂ©cidĂ© in extremis de dĂ©capiter l’ignoble tĂȘte de proue de l’exposition Vasconcelos et par lĂ  mĂȘme le critĂšre DUCHAMP ayant prĂ©sidĂ© Ă  l’ invitation-provocation » de Vasconcelos Ă  Versailles par Aillagon. CensurĂ©e Ă  Versailles Vasconcelos Ă©tale son lustre Ă  Paris Cette dĂ©capitation de Vasconcelos-Duchamp, avec le prodigieux symbole de son tronc sans tĂȘte Ă  Versailles, de sa tĂȘte coupĂ©e Ă  Paris, est une premiĂšre mondiale ! C’est le podium des Grands Appartement Royaux Ă  la gloire de Duchamp devenu l’échafaud de son infamie. C’est la condamnation Ă  mort de son principe mĂ©canique de sacralisation de l’ignoble par le noble, de cannibalisation affairiste de Versailles. C’est, en toute logique, le critĂšre mĂȘme d’élection des expositions new-yorkaises Ă  Versailles, destructrices des Codes de Civilisation, invoquĂ© pour les y porter au pinacle, enfin dĂ©capitĂ©, ridiculisĂ© et rĂ©duit Ă  nĂ©ant, par PĂ©gard ! ACTE 2, VASCONCELOS ATTAQUE PÉGARD et DIVISE LA RÉPUBLIQUE Soudain piquĂ©e au vif l’ingrate Vasconcelos qui se prend pour une grande artiste, invitĂ©e Ă  Versailles pour ses seuls mĂ©rites, se retourne contre sa bienfaitrice et la met publiquement en accusation Il a Ă©tĂ© censurĂ© [2] » dit elle de son Split Rocker de l’ignoble. AussitĂŽt, le rĂ©seau new-yorkais fait recaser La FiancĂ©e » rĂ©pudiĂ©e de Versailles chez le fin connaisseur qu’est le Maire de Paris, B. DelanoĂ«, dans son Ă©tablissement culturel 104 du 19Ăšme. Mais c’est pour la perte de l’honneur de la FiancĂ© ! Car la crĂ©ation la plus importante et emblĂ©matique », de Vasconcelos, divorcĂ©e de son Ă©crin subversif » de Versailles y passera totalement inaperçue, piteusement traitĂ©e par la presse de dĂ©convenues de la mariĂ©e1 » y prĂȘtant au mieux Ă  “sourire”. Ce qui est le pire pour une provocation un flop ! Cette division de la RĂ©publique, c’est la condamnation de l’État d’auto-contradiction du RĂ©gime ; de sa politique culturelle suicidaire, du rĂ©gime d’arbitraire fĂ©odal de la RĂ©publique vivant aux crochets de notre patrimoine royal. C’est le principe dĂ©mocratique bafouĂ©, c’est l’annonce de la chute prochaine du RĂ©gime d’oppression culturelle Tout RĂ©gime vit de son principe et meurt de sa contradiction ! » NapolĂ©on. Joana Vasconcelos au chĂąteau de Versailles ACTE 3, PÉGARD VISE VASCONCELOS, TUE DUCHAMP ET ATTISE LA RÉVOLUTION C’est le choc en retour ! Roue-Tabouret de Duchamp SommĂ©e publiquement de se laver du crime inexpiable de Censure de l’Art », PĂ©gard, prise au piĂšge de ses contradictions, est alors contrainte d’appeler Ă  son secours Dame Logique pour faire un rappel faussement naĂŻf Ă  la RĂšgle de l’Évidence Le chĂąteau n’est pas une galerie, les Ɠuvres prĂ©sentĂ©es doivent entrer en rĂ©sonance avec ce lieu1 sic » ! Mais, elle non plus, n’a pas mesurĂ© les consĂ©quences de cet AVEU forcĂ©, bien tardif et auto-contradictoire. Car ici ĂȘtre en rĂ©sonance avec ce lieu » signifie ĂȘtre en harmonie de style, d’époque et de lieu c’est la rĂšgle d’or de rĂ©ameublement de Versailles ! Selon cette rĂšgle, seules les Ɠuvres » d’époque peuvent ĂȘtre » en rĂ©sonance-harmonie avec les Grands Appartement Royaux ! Ce seul critĂšre exclut dĂ©finitivement toutes les expositions d’art contemporain, a fortiori l’art new-yorkais et en l’espĂšce toute la production de Vasconcelos et pas seulement la scandaleuse FiancĂ©e ». N’est-il pas hautement contradictoire d’inviter les Ɠuvres » d’une artiste et de refuser son chef d’Ɠuvre » emblĂ©matique de Duchamp ? Dire que le Tampax-Lustre n’est pas prĂ©sentable, n’est ce pas dire que toute l’exposition qui rend visible » le principe infĂąme » de Duchamp, littĂ©ralement vil et bas, est in-prĂ©sentable » Ă  Versailles ! Cette RĂ©volution des Beaux-Arts, c’est l’école new-yorkaise doublement dĂ©trĂŽnĂ©e de son piĂ©destal par le Ridicule, Ă  Versailles et Ă  Paris, frappĂ©e au cƓur mĂȘme du principe crĂ©atif » de son procĂ©dĂ© de mariage forcĂ© des contradictoires » du noble et de l’ignoble, du faux et du vrai, du beau et du laid, etc. Tel est pris qui croyait prendre ! » S’amuser de voir ainsi Vasconcelos Ă  son tour dĂ©calĂ©e-recalĂ©e de Versailles, ridiculisĂ©e dans le principe mĂȘme de son ready-made » Ă  Paris, c’est la mise Ă  mort du Tyran Duchamp, chassĂ© du Temple, du Saint des Saints de Versailles, par la RĂ©volution des Beaux-Arts comme un voleur ! COMMENT C. PÉGARD A DONNÉ UN COUP D’ARRET HISTORIQUE À L’ART CONTEMPORAIN » DU NON-SENS Tout a commencĂ© en 1913 Ă  New-York, par l’exposition de l’Armory Show, et par la crĂ©ation du premier Tout fait » Ready made » de Duchamp sa Roue de bicyclette », en fait l’accouplement contre nature d’une Roue-Tabouret, littĂ©ralement le viol-mariage d’un tabouret empalĂ© par la fourche d’une roue. — Jusque lĂ , depuis les Grecs, l’Art, miroir de la Civilisation EuropĂ©enne, Ă©tait basĂ© sur le principe d’harmonie, de non contradiction de l’union le mariage fĂ©cond d’ ensemble d’élĂ©ments sons, couleurs, traits, images, styles, Ɠuvres d’Arts et Lettres, idĂ©es, vision du monde, assemblĂ©s selon “ les rĂšgles de l’Art ” en un tout cohĂ©rent et “ perçus simultanĂ©ment d’une maniĂšre agrĂ©able ” Ă  l’oreille, Ă  l’Ɠil, aux sens, au goĂ»t, Ă  l’intelligence, en un mot Ă  l’esprit mis en accord avec le Cosmos ». — À partir de 1913, l’anti-Art new-yorkais, miroir de la Barbarie prĂ©datrice de New-York, sera basĂ© sur le principe de disharmonie, de contradiction, de non-sens de l’union – dĂ©fi au bon sens [populaire] et Ă  la raison [scientifique] » faux-mariage stĂ©rile d’élĂ©ments accouplĂ©s de force en toute violation des rĂšgles de l’Art en un ensemble disparate, perçu comme un choc d’une maniĂšre dĂ©sagrĂ©able, plongeant l’esprit dans l’absurde du confusionnisme des champs sĂ©mantiques caractĂ©ristique de la folie et le monde dans le chaos. Ceci par la diffusion en chaĂźne du Principe de Contradiction dans l’Art, dans tous les champs du savoir jusqu’à celui de la dĂ©rĂ©glementation » financiĂšre dĂ©calĂ©e » d’aujourd’hui. C’est Ă  ce processus de destruction des tiroirs du cerveau » Manifeste Dada, de viol de l’Esprit par le non-sens qu’à son insu, PĂ©gard a donnĂ© un coup d’arrĂȘt historique Ă  Versailles dans le cadre de la RĂ©volution des Beaux-Arts, en cours d’écriture, dont la CDV est le fer de lance logique ! Rejoignant ainsi le PrĂ©sident Roosevelt qui disait en 1913 Ce n’est pas de l’Art ! », mais l’art du non-sens, prĂ©dateur et destructeur des authentiques valeurs de crĂ©ation de l’Europe ! COMMENT LA RÉPUDIATION DE LA FIANCÉE » PRÉFIGURE LE REJET DU PRÉTENDU MARIAGE-HOMSEXUEL » Photo de Marcel Duchamp, dĂ©guisĂ© en Rrose SĂ©lavy. Art moderne » et homosexualitĂ© font bon mĂ©nage ! Avec son pseudonyme fĂ©minin Rrose SĂ©lavy », Marcel Duchamp changeait volontiers d’identitĂ© sexuelle Voir ci-contre, Ă  l’Exposition Internationale du SurrĂ©alisme, Ă  Paris en 1938, le mannequin fĂ©minin Ă  moitiĂ© habillĂ© en habit Duchamp. En 1949 Ă  San Francisco, au Western Round Table on Modern Art, il confia Ă  Lloyd Wright que le public homosexuel est le plus rĂ©ceptif Ă  l’art moderne. Son disciple Andy Warhol est la figure emblĂ©matique internationale homosexuelle du Pop Art. Et la synergie entre art, marketing, mode et homosexualitĂ© imposera de proche en proche ses codes homosexuels Ă  toute la population, comme en tĂ©moigne aujourd’hui l’aberrant projet d’un prĂ©tendu mariage homosexuel ». La grille de lecture artistique du Split-Rocker Duchamp s’applique Ă  merveille au pseudo Mariage-homosexuel » associant deux Ă©lĂ©ments inconciliables puisqu’un mariage est fertile par destination alors que deux homosexuels » sont infertiles par dĂ©finition. En ce sens le mariage-homosexuel » est un Split-Rocker auto-contradictoire ! Toute idĂ©e de mariage homosexuel, Ă  l’image de la Roue-Tabouret ou du Tampax-Lustre, relĂšve de l’art du non-sens, c’est-Ă -dire d’un dĂ©fi au bon sens populaire et Ă  la raison scientifique, tous aussi stĂ©riles les uns que les autres. Qu’un couple homosexuel veuille se travestir en mariĂ©s », c’est comme la FiancĂ©e Tampax-Lustre cherchant l’estampille de Versailles pour exister ! Quel aveu d’impuissance Ă  vivre par soi mĂȘme ! Le Mythe Duchamp, du progrĂšs de l’art du non-sens sur l’Art de l’harmonie vient, cet Ă©tĂ©, de se briser sur le roc de la rĂ©alitĂ© et de l’intuition de deux femmes. Ce coup de tonnerre historique est le signe annonciateur de l’échec prochain du projet de mariage-homosexuel » aussi immariable avec notre Art, notre savoir vivre et notre Civilisation cf. Le grand rabbin de France s’oppose au mariage homo », Le Figaro, 18 octobre 2012, que le Tampax-Lustre de Vasconcelos avec la chambre de Marie-Antoinette. Avec la rĂšgle d’or invoquĂ©e par C. PĂ©gard, c’est le retour de Dame Logique ! LA COORDINATION DÉFENSE DE VERSAILLES CONSTATE QU’en jetant l’anathĂšme sur l’ignoble Tampax-Lustre de Vasconcelos et en dĂ©capitant Duchamp, C. PĂ©gard a portĂ© un coup d’arrĂȘt historique fatal aux prĂ©tentions hĂ©gĂ©monique de New-York sur Versailles, lui donnant ce que ni le Conseil d’État, ni le PrĂ©sident de la RĂ©publique ne lui avaient accordĂ© ; DÉCLARE QUE, dans la guerre Ă  l’Intelligence Ă  l’Art et Ă  la Civilisation, dĂ©clarĂ©e Ă  Versailles en 2008, elle a ainsi gagnĂ©, par la RĂ©volution des Beaux-Arts en cours, la Bataille dĂ©cisive de l’Intelligence ! Balayant l’Art du non-sens, la Logique de la non-contradiction est de retour ! ANONCE QUE l’Art Ă©tant le miroir anticipateur de la chaĂźne d’inversion des valeurs de SociĂ©tĂ© – Harmonie, CohĂ©rence, BeautĂ© -, la dĂ©faite de l’art du Contradictoire, cet Ă©tĂ© Ă  Versailles, annonce le futur naufrage du projet de prĂ©tendu Mariage homosexuel » non-sens, contraire avec la Logique et la Civilisation ! Arnaud Upinsky, PrĂ©sident de l’UNIEF/Coordination DĂ©fense de Versailles TĂ©lĂ©charger en PDF Pour aller plus loin Rrose SĂ©lavy est un personnage fictif créé par le peintre français Marcel Duchamp en 1920. Son nom apparaĂźt pour la premiĂšre fois1 sur une Ɠuvre d’art, Frensh Window, modĂšle rĂ©duit de fenĂȘtre Ă  la française fresh widow = veuve fraĂźche en anglais. Le nom de Rrose, qui ne prend alors qu’un seul r, est inscrit en signature sur la tablette. Elle figure ensuite dans une sĂ©rie de photographies rĂ©alisĂ©es par Man Ray, oĂč Duchamp pose travesti en femme, maquillĂ© et chapeautĂ©. Le nom choisi Ă©voque la phrase Éros, c’est la vie ». Duchamp affirme Ă©galement qu’il choisit le nom SĂ©lavy » pour sa sonoritĂ© juive in Duchamp du signe. Le double r initial Ă©voque, lui, le double L » initial de certains noms gallois, comme Lloyd ». Duchamp signe Ă©galement du nom de Rrose SĂ©lavy une sĂ©rie d’étranges calembours, par exemple Conseil d’hygiĂšne intime il faut mettre la moelle de l’épĂ©e dans le poil de l’aimĂ©e. » * * * Le titre de l’article VICTOIRE HISTORIQUE J. VASCONCELOS chassĂ©e du paradis de Versailles, c’est la mise Ă  nu de Marcel DUCHAMP descendant l’escalier de la gloire ! », fait rĂ©fĂ©rence Ă  la toile de Duchamp Nu descendant un escalier Nu descendant un escalier » est un tableau de Marcel Duchamp peint en 1912. Il fit scandale lors de son exposition Ă  l’Armory Show de New York en 1913, mais consacra la gloire de Marcel Duchamp et marqua le dĂ©but de l’art moderne aux États-Unis. Marcel Duchamp et son nu descendant un escalier n°2 » En 1913, Marcel Duchamp prĂ©sente Ă  l’Armory Show de New York une Ɠuvre intitulĂ©e Nu descendant un escalier n°2» dont la vision provoquera un tiraillement entre hilaritĂ©, scandale et admiration. L’artiste ne le sait alors pas encore, mais cette Ɠuvre deviendra une charniĂšre de l’art moderne, jouant alors un rĂŽle dans la montĂ©e en puissance de celui qui finira, pour beaucoup, comme l’artiste le plus important du XXĂšme siĂšcle »  Cette Ɠuvre n’aura pas Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e pour la premiĂšre fois en 1913. En effet, l’Ɠuvre, peinte en janvier 1912 est la seconde version une premiĂšre version non dĂ©finitive, car pas assez dynamique et trop descriptive, fĂ»t peinte en 1911. DĂšs FĂ©vrier 1912 il envoie cette version aux IndĂ©pendants de Paris ». Ses amis ne l’aimĂšrent pas et lui demandĂšrent d’en changer au moins le titre. Marcel Duchamp fĂźt autrement Il retira l’Ɠuvre pour aller l’exposer en Octobre de la mĂȘme annĂ©e au Salon de la Section d’Or. Ce n’est que l’annĂ©e d’aprĂšs que l’Ɠuvre sera enfin prĂ©sentĂ©e Ă  l’Armory Show. Nu descendant un escalier, premiĂšre version * * * L’Armory Show est une exposition internationale d’art moderne, qui s’est tenue Ă  New York du 17 fĂ©vrier au 15 mars 1913. Elle fait date dans l’histoire amĂ©ricaine car elle est la premiĂšre exposition de ce genre. L’exposition prĂ©sentait au public 1250 peintures, sculptures et travaux d’art d’environ 300 artistes avant-gardistes EuropĂ©ens et AmĂ©ricains. Des travaux impressionnistes, fauvistes et cubistes y Ă©taient Ă©galement exposĂ©s. La presse et les revues artistiques l’accusĂšrent d’insanitĂ©, d’immoralitĂ©, d’anarchie aussi bien que de parodie, caricature, et tourna l’exposition en dĂ©rision. Le prĂ©sident Theodore Roosevelt lui-mĂȘme dĂ©clara Ă  propos de l’Armory Show Ce n’est pas de l’art ! » Parmi les Ɠuvres jugĂ©es trop pessimistes, celle de Marcel Duchamp, Nu descendant un escalier Nude Descending a Staircase, peinte l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente, composĂ©e d’images en superposition, dans un style comparable au style cinĂ©matographique. Nu descendant un escalier, seconde version Marcel Duchamp et son nu descendant un escalier n°2 »

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